VivaTech 2025 : cinq pépites vendéennes prêtes à franchir les “nouvelles frontières” de la Tech

Du 11 au 14 juin, cinq startups de la French Tech Vendée seront à Paris afin de représenter l’innovation vendéenne à Viva Technology. Une édition 2025 qui s’annonce plus internationale que jamais, avec 14 000 startups attendues et un pavillon américain inédit.

Cinq startups vendéennes à la conquête de VivaTech

Hapy Service, Make It Safe, Profibres, Carbone.io et Verso Concept : cinq noms, cinq projets, cinq visions de l’innovation ancrées en Vendée… et bientôt exposées sur l’un des plus grands salons tech au monde. Cette année encore, VivaTech s’impose comme le rendez-vous incontournable pour faire rayonner les talents français. Nos cinq représentants auront l’honneur d’y exposer sur le stand régional des Pays de la Loire, au cœur d’un écosystème en pleine effervescence.

Qu’il s’agisse de D’IOT de cybersécurité, de matériaux techniques, de service en ligne ou de médecine vétérinaire, ces jeunes entreprises incarneront la diversité et la solidité de l’innovation vendéenne. L’occasion pour elles de nouer des contacts, de tester leur attractivité à l’échelle internationale… et d’accélérer leur développement.

Une édition 2025 sous le signe de l’ouverture internationale

Avec pour fil rouge les « nouvelles frontières » — tech, business, géopolitique et responsabilité — VivaTech 2025 franchit un cap. La superstar de cette édition restera l’intelligence artificielle, mais c’est bien l’internationalisation du salon qui fera date : 50 pavillons étrangers sont annoncés, contre 40 l’an passé. Et pour la première fois depuis la création du salon en 2016, les États-Unis auront leur propre pavillon, avec Miami et Houston en ambassadeurs.

Le Canada sera mis à l’honneur, la Chine quadruplera sa présence et l’affluence globale devrait battre un nouveau record : au moins 14 000 startups (+3,7 % par rapport à 2024) et 4 000 partenaires (+11 %) sont attendus.

Dans ce contexte, la présence de la French Tech Vendée est plus que symbolique : elle affirme que, même depuis la façade Atlantique, nos startups savent jouer dans la cour des grands.